Eu também sou humano, não precisas disfarçar
essa dor no teu engano, esse medo de quebrar.
Há dor nesse sorriso, há medo no olhar,
uma dor que te pesa, esse medo de errar.
Le brouillard finit toujours par se dissoudre,
tel un voile qui lentement se découvre.
Les brumes douces cèdent à la lumière,
comme un secret révélé dans l’atmosphère.
Le soleil, timide, perce l’horizon,
éclairant le ciel d’une lueur en fusion.
Ses rayons d’or caressent la nature,
les rochers, les arbres et toute créature.
Ainsi, chaque aube révèle un renouveau,
Dans la danse du temps, un éternel flambeau.
Toi, Être, qui perçoit cette éternelle renaissance,
Rappelle-toi, tous les jours, la magie de l’existence.

A terra gira