A terra gira, o sol se põe,
No céu a lua já se impõe.
As estrelas brilham lá no alto,
Silêncio dança sobre o asfalto.
As sombras crescem pelo chão,
O vento traz recordação.
No peito, um sonho adormece,
Na noite escura, a paz floresce.
Le brouillard finit toujours par se dissoudre,
tel un voile qui lentement se découvre.
Les brumes douces cèdent à la lumière,
comme un secret révélé dans l’atmosphère.
Le soleil, timide, perce l’horizon,
éclairant le ciel d’une lueur en fusion.
Ses rayons d’or caressent la nature,
les rochers, les arbres et toute créature.
Ainsi, chaque aube révèle un renouveau,
Dans la danse du temps, un éternel flambeau.
Toi, Être, qui perçoit cette éternelle renaissance,
Rappelle-toi, tous les jours, la magie de l’existence.
A terra gira