Le brouillard finit toujours par se dissoudre,
tel un voile qui lentement se découvre.
Les brumes douces cèdent à la lumière,
comme un secret révélé dans l’atmosphère.

Le soleil, timide, perce l’horizon,
éclairant le ciel d’une lueur en fusion.
Ses rayons d’or caressent la nature,
les rochers, les arbres et toute créature.

On écrit sur les murs, pour braver l’oubli,
Pour que nos cœurs murmurent, à l’infini.
Les joies, les peines, les éclats de rire,
Tout ce qui nous enchaîne, tout ce qui nous inspire.

Enfant béni, que famille chérie,
N’oublie jamais ta chance.
Reste humble face à ta destinée,
Dans le doux écrin de la félicité.

Tant d’enfants vivent dans la pauvreté,
La misère les étreint, cruelle réalité.
Toi, étoile brillante au firmament,
Partage ta lumière, sois un enchantement.

Procura sempre a paz na vida,
Em cada passo, em cada medida.
Entre as ondas agitadas do viver,
Encontrar serenidade é o teu dever.

Deixa que a serenidade seja tua guia,
Nas águas calmas, a alma se alivia.
Não busques fortuna em ouro e vaidade,
A verdadeira riqueza está na tranquilidade.

Il faudra leur dire que le vrai courage,
C’est la bonté, lumière dans l’orage,
Dans les cœurs blessés, semer la douceur,
Écouter, comprendre, offrir sa chaleur.

Dans les cœurs lourds, où règne la nuit sombre,
La bonté résonne comme une douce ombre,
Elle console, apaise les âmes en peine,
Et dans chaque geste, une étincelle sereine.

Je suis destructeur de civilisation
hommes sans raison
je vis sans chemin
le travail pour moi ne vaut plus rien

Je m’éprise sagesse passée et ne suit que vanité
Hommes sans squelettes, être sans tête
Ne vois-tu pas que le monde ne tourne pas autour de toi
Que vas-tu enseigner à tes descendants sinon les ruines de la civilisation

Qu’est-ce que la richesse me demandes-tu.
La richesse c’est avoir la santé,
De quoi se nourrir, la liberté,
Des passions dans la vie pour s’évader,

Avoir des gens autour de toi sur qui compter.
Avoir un amour, pour s’extasier,
Le privilège de marcher, explorer,
Avoir toujours un sourire, à donner
À un inconnu ou à l’être aimé.

Printemps fut mécontent, qu’hiver fut si grand;
Printemps rayonnant, regardant hiver vieillissant.
Lui dit, “Toi dont les jours sont nuits;
dont le froid nous affaiblit, comment oses-tu durer si longtemps?”

Il était une fois deux gens bizarres,
qui se sont rencontrés par hasard.
L’un venait d’un monde mystérieux,
l’autre d’un univers curieux.

Ils se croisèrent un soir d’été,
sous un ciel étoilé illuminé.
Leurs regards se sont alors croisés,
et leurs destins se sont entrelacés.