Eu também sou humano, não precisas disfarçar
essa dor no teu engano, esse medo de quebrar.
Há dor nesse sorriso, há medo no olhar,
uma dor que te pesa, esse medo de errar.
Que veux-tu, ainsi va la vie,
le temps passe et l’on vieillit,
les cheveux grisonnent, les forces déclinent,
mais au fond de nous, l’âme toujours s’illumine.
Alors que veux-tu, dans cette course effrénée,
où chaque instant est une nouvelle opportunité,
trouver la paix, l’amour, le sens de la vie,
ou simplement vivre, sans penser à demain, sans soucis?
Alors que veux-tu, dans ce voyage de la vie,
dans ses méandres, ses folies, ses envies.
Dans ce temps qui passe, qui blessures toujours effacent,
fais au mieux mais garde toujours l’espoir tenace.

A terra gira