A terra gira, o sol se põe,
No céu a lua já se impõe.
As estrelas brilham lá no alto,
Silêncio dança sobre o asfalto.
As sombras crescem pelo chão,
O vento traz recordação.
No peito, um sonho adormece,
Na noite escura, a paz floresce.
Printemps fut mécontent, qu’hiver fut si grand;
Printemps rayonnant, regardant hiver vieillissant.
Lui dit, “Toi dont les jours sont nuits;
dont le froid nous affaiblit, comment oses-tu durer si longtemps?”
Hiver mourant répondit, “Je dure le temps que je juge nécessaire;
dans la danse des saisons, chaque acte a sa lumière.
Mon froid sculpte le paysage, de glace et de neige;
Mais c’est pour que ton éclat, Printemps, soit un privilège.
Il n’y a pas de printemps sans hiver, comme de vie heureuse sans chagrin;
chaque saison a sa raison, chaque cycle son refrain.
La douleur tisse la trame, des moments sombres aux jours brillants;
elle construit le caractère, celui des hommes forts et vaillants.
À maitre Jean dit de la Fontaine.
A terra gira