Eu também sou humano, não precisas disfarçar
essa dor no teu engano, esse medo de quebrar.
Há dor nesse sorriso, há medo no olhar,
uma dor que te pesa, esse medo de errar.
Printemps fut mécontent, qu’hiver fut si grand;
Printemps rayonnant, regardant hiver vieillissant.
Lui dit, “Toi dont les jours sont nuits;
dont le froid nous affaiblit, comment oses-tu durer si longtemps?”
Hiver mourant répondit, “Je dure le temps que je juge nécessaire;
dans la danse des saisons, chaque acte a sa lumière.
Mon froid sculpte le paysage, de glace et de neige;
Mais c’est pour que ton éclat, Printemps, soit un privilège.
Il n’y a pas de printemps sans hiver, comme de vie heureuse sans chagrin;
chaque saison a sa raison, chaque cycle son refrain.
La douleur tisse la trame, des moments sombres aux jours brillants;
elle construit le caractère, celui des hommes forts et vaillants.
À maitre Jean dit de la Fontaine.

A terra gira