Eu também sou humano, não precisas disfarçar
essa dor no teu engano, esse medo de quebrar.
Há dor nesse sorriso, há medo no olhar,
uma dor que te pesa, esse medo de errar.
Ne limite pas ton monde, ô rêveur des cieux,
Là où l’horizon danse, infini et radieux.
Étends les ailes de ton esprit en plein vol,
Explore des contrées où nul ne fut frivole.
Parmi les étoiles, conte des légendes,
Où les constellations tissent leurs guirlandes.
Laisse la nuit t’enlacer de son manteau sombre,
Révélant des mystères qui en toi sommeillent en nombre.
Que tes rêves dépassent les frontières du connu,
Que ton imaginaire soit un ciel étendu.
Ne limite pas ton monde, laisse-le s’étendre,
Car la vie est une aventure, un éternel apprendre.

A terra gira