A terra gira, o sol se põe,
No céu a lua já se impõe.
As estrelas brilham lá no alto,
Silêncio dança sobre o asfalto.
As sombras crescem pelo chão,
O vento traz recordação.
No peito, um sonho adormece,
Na noite escura, a paz floresce.
Je suis destructeur de civilisation
hommes sans raison
je vis sans chemin
le travail pour moi ne vaut plus rien
Je m’éprise sagesse passée et ne suit que vanité
Hommes sans squelettes, être sans tête
Ne vois-tu pas que le monde ne tourne pas autour de toi
Que vas-tu enseigner à tes descendants sinon les ruines de la civilisation
Hommes qui n’aiment l’effort, qui ne se sent bien que dans le confort
Tu es voué à n’être qu’éternel paraître
À toi mon fils renie ce chemin
Apprends de la sagesse des anciens
Accomplis travail avec effort
Et accueille douleur sans tort
Devient homme de civilisations
Que tes aïeux soient fiers de tes ambitions
A terra gira