#Poesia

Je suis destructeur de civilisation
hommes sans raison
je vis sans chemin
le travail pour moi ne vaut plus rien

Je m’éprise sagesse passée et ne suit que vanité
Hommes sans squelettes, être sans tête
Ne vois-tu pas que le monde ne tourne pas autour de toi
Que vas-tu enseigner à tes descendants sinon les ruines de la civilisation

Qu’est-ce que la richesse me demandes-tu.
La richesse c’est avoir la santé,
De quoi se nourrir, la liberté,
Des passions dans la vie pour s’évader,

Avoir des gens autour de toi sur qui compter.
Avoir un amour, pour s’extasier,
Le privilège de marcher, explorer,
Avoir toujours un sourire, à donner
À un inconnu ou à l’être aimé.

Printemps fut mécontent, qu’hiver fut si grand;
Printemps rayonnant, regardant hiver vieillissant.
Lui dit, “Toi dont les jours sont nuits;
dont le froid nous affaiblit, comment oses-tu durer si longtemps?”

Il était une fois deux gens bizarres,
qui se sont rencontrés par hasard.
L’un venait d’un monde mystérieux,
l’autre d’un univers curieux.

Ils se croisèrent un soir d’été,
sous un ciel étoilé illuminé.
Leurs regards se sont alors croisés,
et leurs destins se sont entrelacés.

Que veux-tu, ainsi va la vie,
le temps passe et l’on vieillit,
les cheveux grisonnent, les forces déclinent,
mais au fond de nous, l’âme toujours s’illumine.

Alors que veux-tu, dans cette course effrénée,
où chaque instant est une nouvelle opportunité,
trouver la paix, l’amour, le sens de la vie,
ou simplement vivre, sans penser à demain, sans soucis?

L’enfant que tu étais, rêveur et pur,
en l’homme que tu es devenu, mature et sûr.
Regardant le miroir, reflet des années,
tes yeux cherchent l’enfant qui en toi résidait.