C’est ton voyage à travers l’espace-temps, c’est ta vie,
fais toujours ce qu’il te plaît, ce que tu as envie.
Ne vis pas la vie des autres, fais ton chemin.
Écoute ton cœur, il connaît ton destin.

De coração para coração, de ser para ser,
Caminharemos juntos na dança do viver.
Entre risos e lágrimas, na jornada incerta,
Caminharemos unidos, em sintonia eterna.

As estações mudarão, como o curso dos rios,
E em cada mudança, enfrentaremos desafios.
Com coragem e amor, lado a lado seguiremos,
com o coração na mão sempre bailaremos.

Et de tant être, je fus épris de l’aurore,
Dans le ciel, des étoiles, un doux décor.
Épris du vent léger, caressant la mer,
Chant mélodieux, murmures éphémères.

Et de tant être, je fus l’ombre dansante sous la lueur,
Un doux mystère, une éternelle ferveur.
De tant être, je fus la plume en suspens,
Écrivant des vers, des rêves émouvants.

Un jour il faut bien commencer;
commencer à marcher, commencer à parler;
commencer à sourire, commencer à s’aimer.
Et, un jour, en regardant le passé
tu comprendras que le plus grand des plaisirs
fut de pouvoir commencer.

Ferme les yeux, voyage, oublie ta condition d’humain,
Dans l’obscurité, découvre un autre chemin.
Loin des limites du corps, vers des contrées lointaines,
Où les échos des étoiles murmurent des refrains.

Somos o quanto nos somos, seres de luz a dançar,
Na vastidão do universo, a vida a deslumbrar.
Cada passo, uma jornada, um eterno caminhar,
Pelos campos do destino, a história a desenrolar.

Ne limite pas ton monde, ô rêveur des cieux,
Là où l’horizon danse, infini et radieux.
Étends les ailes de ton esprit en plein vol,
Explore des contrées où nul ne fut frivole.

Eu queria paz, ela queria guerra
Eu, calmaria. Ela, tempestade que berra.
Eu oferecia abrigo, um canto sereno,
Mas ela so queria caos, puro veneno.

Eu sonhava abrigo, um canto tranquilo,
Ela erguia muralhas no meio do caminho.
Não era maldade, talvez só defesa,
Mas toda tentativa virava aspereza.